6 thoughts on “Paris got lost in the debates, the bailout and Paul Newman”

1. We are truly living in uncertain times. Economic meltdown, in the face of leadership crisis. It’s a pulverizing feeling..

   In the words of the columnist Thomas Friedman:

   “I’ve always believed that America’s government was a unique political system — one designed by geniuses so that it could be run by idiots. I was wrong. No system can be smart enough to survive this level of incompetence and recklessness by the people charged to run it.”

   As always, nice pictures.

2. Just impressed by your photos as always, and your affection for my country.
   very best wishes

3. Que d’émotions variés et intenses qui trouvent leurs sources dans ce remarquable éventail de photos, de sujets, de personnages, et d’événements, aussi passionnant les uns que les autre et avec lesquels tu nous encense avec un brillant talent, un humour séduisant, garnis de troublant commentaires. Le tout entouré d’une sorte fébrilité grouillante de finesse d’esprit qui nous élève vers des plaisirs si enrichissant.

   La trouvaille du trailers de « Paris Blues ». Remarquable. Ce Paul Newman qui laisse derrière lui une trainée de souvenir qui ravivent des moments et d’une époque a jamais révolue. Quelle élégance de lui offrir comme hommage d’adieux le souvenir de ces scènes tournées a Paris.

   Le lieu où l’on trouve réuni l’inoubliable Louis Armstrong, Newman, Reggiani et tant d’autre se passe aux Caveaux de la Huchette à Saint Germain. Mémorable sacro saint temple du jazz ou des géants ont étoilé les lieux de leurs notes magiques. Des Dizzy Gillespie, des Lionel Hampton, des Gerry Mulligan, des Miles Davies, des Art Blakley et ses Jazz Messenger, des Dave Brubeck et son inoubliables « Take five » et puis le maitre Duke Ellington. Que de géants que de souvenirs grisants.

   Magnifique sélection de photos de Monsieur André Ketesz, compatriote de notre très cher Docteur Ungvari, qui célèbrent la magie de la lecture et dont certaines ont des nuances dont la sensualité éveille le désir.

   Ah, la photo d’une rue de l’Isle Saint Louis a l’heure de la nuit ou la foule se retire comme pour saluer en une révérence toute la splendeur d’une architecture qu’une pluie fine couvre d’une mince peau reluisante. Et au bout « La brasserie de L’Isle », ce lieu qui a abrite des amours, des personnages et des événements mémorables. Il a l’air, a cette heure tardive de la nuit de reprendre paisiblement le souffle après une longue journée ou la foule se relayait pour y trouver son petit bonheur.

   Et puis c’est par la mode que tu nous séduis par ce sac couvert d’une si élégante et riche guipure noir. Qu’importe qu’il soit hors de portée pour notre bourse. Sa simple existence rassure.

   Et puis ce lustre aux cristaux rouges/orange, dont les lueurs pourraient couver les amours les plus passionnels.

   Ces toits de Paris qui caressent si merveilleusement les yeux par leur élégante majesté. Ils remplissent les poumons d’une plaisante sérénité.

   La place des Vosges me rend muet de bonheur. Que de frôler ces murs me rend fébrile. Ils m’invitent comme dans un rêve à entamer les pas d’un certain Victor Hugo.

   Merci, merci deux fois pour nous offrir cette belle maxime d’Albert Einstein : Two things are infinite : the universe and the human stupidity. And I am not sure about the universe. Génial Michèle.

   Surtout très a propos de ce que tu appelles si judicieusement le cirque des élections présidentielles qui naviguent sur les vagues les plus troubles et les plus dangereuses que notre monde est en train de vivre.

   Tout les deux parlent surtout de leurs plans de nous sauver du naufrage. Mais ou étaient-ils quand on accumulait tous ces désastres ?

   Celle qui a payé cher pour ton indignation c’est la denture de la Palin. La tu t’es éclaté. On te pardonne cette écartée émotionnelle. Mais quand même quel carnage !

   Michèle, c’est magique comment tu t’offres toute nue, sans fard, sans tricherie, et avec une admirable générosité d’esprit. C’est par le fruit de longues nuits de travaille et d‘immense efforts et de sacrifices que tu nous enrichie ton émouvante passion de la vie.

   Que puis-je faire d’autre que de me plier devant tant de talent en mon nom et en celui de beaucoup d’autre, en une immense révérence pour te dire notre admiration et notre reconnaissance.

   Merci pour ce fabuleux voyage qui rempli de bonheur.

4. My dear Michele, thank you, thank you and again thank you for this great trailer of Paul Newman and Sidney Poitier. I’m definitely going to watch it tonight!!!!
   Also, thank you for the pics. I loved the last one of that IDIOT Palin…. I call her PEHEN, you know like KOOD in Farsi… Ha Ha Ha
   Yasi

5. it’s hard not to admire Paul Newman for putting his money to work in such productive ways, such as his Newman’s Own line–high quality stuff and the proceeds go to good causes… very smart.

6. Hello Michelle

   Wow! Whats a beautiful trailer. Paris Blues. Indeed Paul Newman was so charismatic. What a treat to watch Paul Newman, Sidney Potiter and Louis Armstrong .. all together..

   It reminded of another iconic film by Jean Luc Godard A Bout de Souffle.

   Please do watch it – http://in.youtube.com/watch?v=w2hDR_e1o1M
   Jean Seberg was incredible in the film.

   Indeed those beautiul window dressed images, rather makes you think what on earth are we getting to. Paying a 2000 dollars for a Handbag which wouldnt even cost 200 dollars. I think LUXURY is more of a thing in the head.. now.. its all about spending ..its no longer about the product.

   The Paris Blues Trailer almost dragged me out of my blues.. ofcourse to a more nostalgic blues, of the days i spend at LA FEMIS in Paris.

   I thought of a phrase born out of my blues…

   “its worthwhile sometimes to erase the past, then let it remain suspended on the bedroom walls, pain goes into sleep like images forgotten”

   P.S: In the trailer ” Did they show Louis Armstrong playing at the Caveau de la Huchette. “